Spectacle So Bigger

So Bigger

Duo clown pour la rue

2023, Année de création : près de 20 représentations (pré-achats)

DUO CLOWNS

Durée : 1H (2x30min ou 1x45min)
Jauge : 200

L’absurde dans l’espace public

Un jeu avec l’environnement urbain, à la découverte des espaces poétiques du quotidien.

Le regard impertinent de la candeur et de l’innocence, sur nos espaces de vies. Un point de vue qui ouvre la ville comme un livre d’images, et redonne au spectateur sa jubilation à imaginer.

TONY NOYERS

« Dans les murs des fleurs, sous le bitume des couleurs. Les trottoirs et le béton regorgent d’espiègleries, de poésies. Je veux de l’incongru dans la rue, je veux qu’on s’étonne de sa ville de son quartier encore et encore. Je veux qu’on ouvre grand les yeux, qu’on découvre le ciel à travers les murs, je veux donner du champ et de la perspective dans les villes, les villages, et du souffle dans nos quotidiens.»

Tony Noyers, auteur de Very Lost et comédien sur ce dernier, va cette fois guider de l’extérieur, pour insuffler d’avantage ce qui le meut, octroyer la parole à ce thème de l’illégitimité.

JOUER AVEC LA RUE POUR LA RUE – La rue est bavarde, écoutons ce qu’elle a à nous dire.

Le public, l’espace, et les éléments urbains font partie du récit. Ils sont les éléments de la réalité, auxquels la fiction, se confronte. La rue est l’enjeu, le danger, et le drame.

L’absurde et la poétique de l’espace public
Se cacher dans la rue avec une oeuvre d’art ? Nos clowns, par leur candeur et leur gestion improbable de la réalité, permettent de poser un autre regard sur les espaces du quotidien.

L’enjeu, le danger, le drame
Nous nous appuyons sur les réalités spatiales de la rue pour développer des situations imaginaires. Les tensions dramatiques mettent ainsi la rue dans le jeu.

Le burlesque physique

Le rue pour nous n’est pas un lieu de jeu, elle EST un jeu :
« Appuyons-nous de toutes nos forces dessus, pour la renverser. Tombons dedans pour tomber dans ses bras ».

En images

QUE LE SPECTATEUR RETROUVE SA JUBILATION À IMAGINER !

Le vivant : La véracité des personnages
Bien que les personnages soient très dessinés, ils n’en sont pas moins véritablement vivants. Ils existent dans l’instant
présent : soufflent, souffrent, transpirent, parlent. C’est justement le contraste avec leur statut de personnage et leur
réalité humaine, qui nous emmène dans leur histoire.

Le mouvement : langage de corps, langage de rythme
Un langage de corps, ou les mouvements parlent sans dire. Un langage universel qui fait appel à l’imaginaire collectif et
permet au spectateur de se construire un récit à partir de ses propres références.

Le visuel : La ville comme un livre d’image
Le spectacle est visuel, dessiné, esthétique. Les scènes sont traitées comme des tableaux. Il s’agit d’équilibre, de points
de fuite, de lignes de contradictions, pour chaque personnage, sur le duo et par rapport à l’espace.

Que le public retrouve sa jubilation à imaginer !

Partir de rien :
Ils ne sont que deux, sans aides techniques, ou d’effets.
Ce qui est simplement spectaculaire c’est que leurs épopées rocambolesques ne sont issues que de leur jubilation à imaginer.


Des personnages picturaux :
Les personnages, figures d’imagiers, donnent une impression d’images vivantes. Comme s’ils sortaient d’une vieille carte postale, ou d’un vieux film d’aventure.

DU CAMBRIOLAGE AU NAUFRAGE

Le monde est trop grand pour eux. Ils sont submergés par l’immensité du monde.
Tout est tellement SO BIGGER.

La tragédie

« Le radeau de la Méduse » car s’il s’agit d’un cambriolage d’oeuvre d’art, il est surtout question de naufrage.

L’humanité des personnages avant tout :

Si ce cambriolage burlesque est un naufrage, c’est parce que je veux dire leur humanité : C’est pour moi l’essentiel. Ils ressemblent à nous tous, parce que, précisément ils sont imparfaits.

Fiche Technique : comment ça marche ?

Temps de passages : 2 x 30 minutes ou 1 x 45 minutes

Distance parcourue pendant le spectacle : maximum 100 mètres

Temps entre les deux sorties : minimum 1h30

Loges chauffées :
Distance loge max 100 mètres
– Prise électrique
– Point d’eau
– Eau en bouteille
– 2 Tables
– 2 chaises
– Portant pour costume ou 2 chaises
– Espace pour échauffement  pour 2 personnes

Installation : 1h


Temps de repérage : 2h


Utilisation éléments rue :
Certains éléments de l’espace public peuvent être soumis à sollicitation : Mobilier, Poubelles, abri-bus, panneaux de signalisations, publicitaires, bosquets, arbres …

Pendant le temps du spectacle :
– Nous demandons un accompagnateur pour le bon déroulement de la représentation.
– Pas de balances musicales, ou autre pollution sonore sur le circuit ni à proximité.

DISTRIBUTION

Jeu : Marion Gouvernet et Arnaud Nedelec

Conception, écriture, et mise en scène : Tony Noyers

Conseils à la mise en scène : Emilie Goupil et Isabelle Osmas

Décor : Camille Besnard (reproduction de l’œuvre de Théodore Géricault) et Bernard Fournier (structure)

Production : Marine Roucheteau

REMERCIEMENTS

Marine Roucheteau pour son pragmatisme et ses questions d’une extrême pertinence, Emilie Goupil qui à su être là dans les moments de doutes, Catherine Delerue du festival les Utopitreries Ruminghem (62), David Seurin du festival Les Entrelacés Lassay les châteaux (72), Josiane Bicard et Wilfrid Shopp de la Mairie de Lagord (17), et Bruno De Beaufort du CNAREP sur le pont (La Rochelle), Patrick Chambaz du Paléo festival (Suisse), Emmanuelle Beytrison du festival Hérisson sous gazon (Suisse), Marie Driaux festival Accroche-cœurs, Lucie France de la commune de Saint Calais (72), Nolwenn Ployez de la commune de Brissac Loire Aubance (49), Tatiana Guelle du centre Socio-culturel Le Val’Rhonne Moncé en Belin (72), Jérôme Côme festival Les rendez-vous de ST Lyphard (72), Aurélie Fontaine du centre culturel Jean Carmet Mûrs Erigné (49), et Céline Ducoq du service culturel de Loire Authion (49), pour leur confiance lors de pré-achats.

Ainsi qu’à tous nos partenaires financiers sans qui ce spectacle n’aurait pu voir le jour :

 

LES SOUTIENS

Nous avons encore plein de monde à remercier et qui ont fait que nos projets existent.